Avis aux amateurs : on recrute pour aller virtuellement sur Mars.
L'agence spatiale européenne (ESA) a lancé le 19 juin 2007, à l'occasion du salon de l'aéronautique du Bourget, un appel aux candidats à trois simulations de missions vers Mars. Les volontaires devront vivre en confinement pendant des périodes allant de 105 à 520 jours pour une rémunération fixée à 120 euros par journée virtuellement martienne.
Pour plus d'information et pour accéder au formulaire d'inscription, lien ici.
Cognitique / Cognitics - Ce site est destiné aux élèves ingénieurs et aux doctorants de l'École Nationale Supérieure de Cognitique (ENSC Bordeaux-INP). Il donne en complément des enseignements des pistes de documentation et de débat selon les thèmes SHS, IA, BIO, TECH, culture, infos générales et vie de l'ENSC. Il prépare notamment aux épreuves du grand oral de fin d’études.
20 juin 2007
DIV : On recrute pour Mars.
DIV : Santé mentale des étudiants.
Selon le rapport "La santé des étudiants en 2007" de l'Usem, établie à partir des réponses de 14.000 étudiants traitées par la Fédération nationale des observatoires régionaux de santé, plus de 30% des étudiants sont "tristes, déprimés et sans espoir".
Ces étudiants, qui connaissent des périodes de plus de deux semaines de spleen o de dépression, vont en majorité chez le médecin (83,6 % ont consulté un professionnel dans les six derniers mois avant l'enquête). Cependant, 13,8 % ne sont pas suivis au motif d'un coût trop élevé des consultations et des prises en charge.
Parmi ces étudiants qui présentent un signe de dépression, près de 40% ont des difficultés liées au stress et 30% des ont des problèmes de sommeil (versus 10% de manière générale), 32% consomment des médicaments pour les nerfs (vs 10%), 20% ont une importante consommation d'alcool (vs 10%) et 15% fument du cannabis (vs 10%).
Autre angoisse signalée : les étudiants ont le sentiment que les choix qu'ils opèrent sont cruciaux et définitifs, et que s'ils se trompent, c'est toute leur vie qu'ils ratent.
Ce phénomène inquiétant s'expliquerait par le changement entre le lycée, où les élèves sont en petits groupes, encadrés par des enseignants, et la fac en amphis et où la présence et l'organisation du travail sont caractérisées par une grande autonomie.
Ces étudiants, qui connaissent des périodes de plus de deux semaines de spleen o de dépression, vont en majorité chez le médecin (83,6 % ont consulté un professionnel dans les six derniers mois avant l'enquête). Cependant, 13,8 % ne sont pas suivis au motif d'un coût trop élevé des consultations et des prises en charge.
Parmi ces étudiants qui présentent un signe de dépression, près de 40% ont des difficultés liées au stress et 30% des ont des problèmes de sommeil (versus 10% de manière générale), 32% consomment des médicaments pour les nerfs (vs 10%), 20% ont une importante consommation d'alcool (vs 10%) et 15% fument du cannabis (vs 10%).
Autre angoisse signalée : les étudiants ont le sentiment que les choix qu'ils opèrent sont cruciaux et définitifs, et que s'ils se trompent, c'est toute leur vie qu'ils ratent.
Ce phénomène inquiétant s'expliquerait par le changement entre le lycée, où les élèves sont en petits groupes, encadrés par des enseignants, et la fac en amphis et où la présence et l'organisation du travail sont caractérisées par une grande autonomie.
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