C'est le 14 novembre 2013 que la Commission Européenne a annoncé que l'utilisation des smartphones, tablettes et e-readers étaient autorisée durant les phases de décollage et d’atterrissage à travers tous les pays d’Europe. La même commission a donné le lendemain l’autorisation aux compagnies aériennes de déployer les réseaux 3G et 4G dans leurs avions.
Que va-t-il se passer ? Les compagnies restent maître à bord et qui décideront ou non de proposer le service téléphonie et internet dans leurs avions. Supposons qu'après une période de réticence, la pression des usagers et la compétition marchande vont inciter les compagnies à évoluer. Gageons que cette autorisation sera d'ailleurs rapidement un argument de vente et de concurence.
Néanmoins, bien que les 3G et 4G offrent une rapidité pour le partage des données, la Wi-Fi et le partage de données en vol limiteront cette vitesse et cette capacité à un usage limité.
Plusieurs entreprises, telles que T-Mobile par exemple, travaillent sur le développement de nouvelles technologies qui pourraient se connecter directement aux réseaux LTE habituels, contournant les contraintes satellitaires pour faciliter une connexion plus rapide lors des voyages sur terre, baissant ainsi les coûts à attendre de ces possibilités internet en vol.