Ces dernières années, une littérature considérable s’est développée autour du thème de l’aptitude des grands singes, des dauphins, des perroquets, et peut-être d’autres animaux à posséder des caractéristiques cognitives que l’on pensait jusqu’alors strictement humaines, notamment la conscience de soi, les émotions et la communiquer symbolique.
Le Monde diplomatique propose une chronique fort intéressante Gary Francione qui dirige à la Rutgers University School of Law, Newark (New Jersey) un enseignement sur le droits des animaux.
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