Une équipe multidisciplinaire associant la Harvard School of Public Health (Boston, USA), l'Université du Michigan (Ann Arbor, USA) et l'University College (Londres, GB), a étudié un échantillon de prés de 8000 personnes des deux sexes et d'âge moyen proche de 50 ans (cohorte Whitehall II).
Cette étude épidémiologique montre que le fait d'être satisfait de son sort, notamment dans sa vie personnelle, sa famille, sa vie sexuelle et son identité personnelle, a des conséquences bénéfiques et préventives sur le coeur et le système coronarien. Ces résultats ont été publiés le 4 juillet 2011 dans l'European Heart Journal.
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