Selon Michael Valenzuela, de la School of Psychiatry de l’Université de New South Wales, qui publie ses résultats épidémiologiques de 29000 individus dans Psychological Medicine, la conclusion apparaît clairement être la suivante : "Use it or lose it" ... Stimuler son cerveau c'est le préserver et l'activité mentale complexe permettrait de réduire de moitié le risque de maladies neurodégénératives.
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