Identification de l'horloge alimentaire.
Des chercheurs du Department de Neurobiologie des Rythmes de l'Institut de Neurosciences Cellulaires et intégratives (CNRS, et Université Louis Pasteur de Strasbourg), et des Divisions de Biochimie et de Physiologie du Department de Médecine de l'Université de Fribourg (Suisse) viennent, en utilisant le Chronobiotron, de mettre en évidence chez la souris les premières bases moléculaires de l'anticipation de l'heure des repas.
Le responsable est un gène déjà impliqué dans les mécanismes circadiens, dont l'expression dans le cerveau et les organes périphériques varie tout au long de la journée. Ces travaux sont publiés dans la revue Current Biology du 24 octobre 2006.
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